Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
MBDV - MON BLOG DE VOYAGE
MBDV - MON BLOG DE VOYAGE
Menu
Une nuit au Stade Olympique de Barcelone avec U2

Une nuit au Stade Olympique de Barcelone avec U2

Des mois, des années que nous attendions cela et nous avons pu réaliser un de nos plus grands rêves : obtenir des billets pour la nouvelle tournée du groupe U2 !! Lorsque les dates européennes ont été annoncées, deux lieux ont attiré notre attention : Paris et Barcelone. Notre choix s'est finalement porté sur la capitale de la Catalogne. Notre précédente expérience de grand concert au Stade de France ayant été plus que mitigée (places trop chères et trop éloignées), nous avons souhaité donner sa chance au Stade Olympique Lluis Companys de Barcelone.

Tout commence donc par une longue matinée de janvier à attendre fébrilement l'ouverture des réservations. Quelques sueurs froides plus tard et nous voici en possession de deux précieux sésames pour une soirée qui s'annonce des plus mémorables. 2017 est une année importante pour le groupe irlandais U2 puisqu'il s'agit du 30e anniversaire de la sortie de l'album THE JOSHUA TREE. Tout cela ne nous rajeunit pas !! Et quoi de mieux qu'une grande tournée mondiale pour célébrer cela?  

Dit comme cela, on pourrait rester de marbre face à cette information. Mais lorsqu'on évoque WITH OR WITHOUT YOU, WHERE THE STREETS HAVE NO NAME ou I STILL HAVENT FOUND WHAT I'M LOOKING FOR, on se rend compte de l'importance de cet album aux influences US. Grâce à cet enregistrement, le groupe obtient une reconnaissance internationale et les deux premiers grammy awards de sa carrière. 

Lorsqu'une légende du rock rencontre une légende du sport, de l'olympisme, cela donne une soirée mémorable que je vous propose de revivre dans ce nouvel article. 

U2 au Stade Olympique de Barcelone (juillet 2017, image personnelle)

U2 au Stade Olympique de Barcelone (juillet 2017, image personnelle)

U2 au Stade Olympique Lluis Companys de Barcelone

Dans le précédent article du blog, nous avions déjà évoqué le stade Lluis Companys et l'anneau olympique. N'hésitez pas à aller le consulter si vous souhaitez mieux connaitre ce stade mythique de Barcelone.  Passons maintenant les portes du stade pour revivre ce concert mémorable.

Le stade Olympique de Barcelone (octobre 2015, images personnelles)
Le stade Olympique de Barcelone (octobre 2015, images personnelles)
Le stade Olympique de Barcelone (octobre 2015, images personnelles)
Le stade Olympique de Barcelone (octobre 2015, images personnelles)

Le stade Olympique de Barcelone (octobre 2015, images personnelles)

Nous avons fait le choix de ne pas opter pour des places en fosses (de 75 € pour des places en fosse normale à 250 pour le carré Pelouse VIP : un peu trop cher pour notre budget du moment) mais plutôt pour des places en tribune. Afin de ne pas reproduire notre erreur du stade de France (bien que la configuration du stade olympique soit un peu différente), nous avons choisi des places au plus près de la scène en gradin mais en hauteur, en raison de leur disponibilité. 

Une fois sur place, nous avons eu la chance de découvrir que nos places premiers prix étaient des emplacements de choix. De l'autre côté de l'escalier qui desservait notre carré se trouvaient des places à 75 euros. La vue sur la scène est imprenable et nous sommes face à la scène avancée sur laquelle le groupe commencera à jouer ses premiers titres. Il est également appréciable de découvrir que le stade n'est pas pourvu de grilles anti-holligans dans les virages ce qui ne gâche ni ne dénature le spectacle (contrairement au stade de France).

Une vue imprenable sur la scène depuis nos places (juillet 2017, images personnelles)
Une vue imprenable sur la scène depuis nos places (juillet 2017, images personnelles)

Une vue imprenable sur la scène depuis nos places (juillet 2017, images personnelles)

L'accès au stade est très facile et bien organisé. De nombreux points de restauration permettent aux spectateurs de trouver de quoi se rafraîchir et se restaurer. Par rapport à la France, encore un bon point, les sandwiches sont préparés sur place et les prix plus raisonnables qu'au Stade de France. 

Seul point noir, ou plutôt rouge, dirons-nous. Seule une petite partie des tribunes (officielles) est couverte. Et le soleil tape fort en été à Barcelone. Du coup, nous adoptons la méthode catalane et allons nous réfugier dans les entrailles du stade pour profiter de la fraîcheur. Et quelques minutes avant l'entrée en scène de la première partie, nous rejoignons nos places.

Une légende du rock est là, sur scène avec son groupe : Noel Gallagher, un des deux frères fondateurs du groupe Oasis !! Il nous a gratifié d'une prestation de trois quart d'heure impeccable, qui donne vraiment envie de découvrir son nouvel album. Et lorsqu'il entame les premières notes de Wonder wall, des frissons parcourent le stade. On repart des années en arrière. On redevient tous des ados et on se met à rêver d'une reformation du groupe mythique. Vers la fin du set, un titre dont la résonnance sera à coup sur très différente au Stade de France envahit le stade. Dont Look Back in Anger dont le refrain est entonné par le stade. Exceptionnel !!!! Ce n'est que la première partie et on ressent déjà des ondes incroyables pour la suite du concert ! 

Noël Gallagher et son groupe assurent en première partie (juillet 2017, images personnelles)
Noël Gallagher et son groupe assurent en première partie (juillet 2017, images personnelles)

Noël Gallagher et son groupe assurent en première partie (juillet 2017, images personnelles)

Un autre avantage de nos places latérales à la scène, c'est que nous pouvons jeter un oeil aux coulisses et voir les techniciens s'affairer dans les dernières minutes avant le début du concert. Les instruments du groupe de Noël Gallagher sont rapidement rangés pour installer ceux de U2. La nuit tombe lentement sur le stade Olympique et sur la foule des grands soirs qui s'amasse sur la pelouse et des gradins archi combles. 

Revenons en à la scène ! Le groupe s'est entouré de son équipe habituelle pour créer cette tournée anniversaire de Joshua Tree. Willie Williams a conçu pour l'occasion une scène beaucoup plus sobre que sur les tournées précédentes. Pas d'araignée géante, pas de scène tournante. Simplement une scène classique avec en fond un énorme écran géant ressemblant à un morceau de pellicule en cinémascope ou à un livre ouvert. 

Avant même le début du concert, il est difficile de se rendre compte de ce qui nous attend. Le groupe jouera la totalité de l'album agrémenté par quelques uns de ses plus grands titres. Cet écran géant aura pour mission de nous embarquer dans l'album, conçu comme un road trip américain dont certains titres conservent une résonance toute particulière. Émotion, grand spectacle, souvenirs. On a tous hâte que le spectacle commence enfin ! 

Le stade est enfin rempli et prêt à accueillir U2 (juillet 2017, images personnelles)
Le stade est enfin rempli et prêt à accueillir U2 (juillet 2017, images personnelles)

Le stade est enfin rempli et prêt à accueillir U2 (juillet 2017, images personnelles)

D'un oeil distrait, nous regardons l'arrière de la scène. La fourmilière de techniciens s'agite. Une petite voiturette quitte les coulisses pour se garer au pied de l'immense scène. En zoomant un peu avec mon apn, je parviens à distinguer les silhouettes des quatre irlandais en train de rejoindre la scène principale. Ces quelques secondes sont interminables. La foule commence à bruisser et à s'impatienter. 

C'est alors qu'avec la sobriété des concerts de leurs débuts Larry Mullen, le batteur, entre sur la scène principale seul sous les acclamations du public. Il rejoint la petite scène en forme de Joshua Tree. Il s'installe, replace tranquillement ses oreillettes, lève ses baguettes au ciel avant de les abattre sur son instrument pour débuter le mythique solo de Sunday Bloody Sunday !!!!!

Le son est d'un imparable puissance, le ton est donné. C'est au tour de The Edge d'entrer à son tour et de rejoindre la petite scène. Son éternel bonnet vissé sur la tête, il entame à son tour les premières mesures du morceau. Bono entre ensuite sous les ovations du public, suivi par Adam Clayton et sa basse. Le concert commence par une série de 4 morceaux sur la petite scène, un peu comme au bon vieux temps où le groupe jouait dans des petits clubs. Pour ce spectacle, U2 joue la carte de la proximité et de l'intimité pour commencer. Pas d'artifice, pas d'écran géant, pas de mise en scène grandiloquente, juste de la bonne musique !!!

U2 au plus près de son public pour démarrer ce concert sur la petite scène (juillet 2017, images personnelles)
U2 au plus près de son public pour démarrer ce concert sur la petite scène (juillet 2017, images personnelles)
U2 au plus près de son public pour démarrer ce concert sur la petite scène (juillet 2017, images personnelles)

U2 au plus près de son public pour démarrer ce concert sur la petite scène (juillet 2017, images personnelles)

Après l'ouverture sur Sunday Bloody Sunday, le groupe enchaîne sans temps mort avec New Year's Days devant un public en délire. Puis vient Bad. L'occasion pour le groupe de rendre hommage à David Bowie en reprenant Heroes, un intense moment d'émotion pendant lequel les tribunes et la fosse scintillent sous l'effets des flashs et des smartphones pour adresser une dernière ovation à cet "Heroe" de la pop culture.

Le set se poursuit avec Pride enveloppant le public dans une atmosphère bleutée du plus bel effet. 

Un stade en communion avec le groupe sur Bad puis Pride ('juillet 2017, images personelles)
Un stade en communion avec le groupe sur Bad puis Pride ('juillet 2017, images personelles)

Un stade en communion avec le groupe sur Bad puis Pride ('juillet 2017, images personelles)

Le groupe quitte ensuite la petite scène pour rejoindre la scène principale sur la nappe de synthé de Where the streets have no name. L'écran géant se met en route. L'arbre qui ornait la pochette de l'album se détache sur un fond rouge avant de diffuser une magnifique vidéo en noir et blanc qui nous propulse sur les routes américaines au son des morceaux de l'album joués dans l'ordre chronologique.

Pour rendre hommage à l'album, U2 a demandé à son photographe attitré Anton Corbjin de retourner aux Etats Unis pour y réaliser une séries de films qui seront projetés en fond de scène afin d'illustrer ces éléments d'atmosphère de l'Amérique profonde qui ont inspiré la conception de l'album Joshua Tree. 

Pour compléter l'expérience visuelle, le concert est filmé par une armada de caméras et les images sont ensuite mélangées en temps réel pour être diffusées sur l'écran géant. Cela permet à chaque spectateur de profiter du spectacle de façon optimale grâce à une réalisation vidéo très soignée.

L'écran géant de fond de scène, la star de cette scénographie épurée mais efficace ( juillet 2017, images personnelles)
L'écran géant de fond de scène, la star de cette scénographie épurée mais efficace ( juillet 2017, images personnelles)
L'écran géant de fond de scène, la star de cette scénographie épurée mais efficace ( juillet 2017, images personnelles)
L'écran géant de fond de scène, la star de cette scénographie épurée mais efficace ( juillet 2017, images personnelles)
L'écran géant de fond de scène, la star de cette scénographie épurée mais efficace ( juillet 2017, images personnelles)

L'écran géant de fond de scène, la star de cette scénographie épurée mais efficace ( juillet 2017, images personnelles)

Where the streets have no name, i'm still haven't found what i'm looking for, with or without you s'enchainent. On aurait presque oublié que tous ces hits sortent du même album. Incontournables, indémodables, on les savoure avec plaisir ! 

On redécouvre les titres suivants dont certains n'ont pas été rejoués par le groupe sur scène depuis des années. Servis par une mise en image très soignée, ils n'ont rien perdu de leur puissance et on se laisse porter par cette atmosphère brute, rock parfois folk sur les routes américaines.

Un écran vidéo formidablement bien exploité pendant le concert (juillet 2017, images personnelles)
Un écran vidéo formidablement bien exploité pendant le concert (juillet 2017, images personnelles)
Un écran vidéo formidablement bien exploité pendant le concert (juillet 2017, images personnelles)
Un écran vidéo formidablement bien exploité pendant le concert (juillet 2017, images personnelles)
Un écran vidéo formidablement bien exploité pendant le concert (juillet 2017, images personnelles)
Un écran vidéo formidablement bien exploité pendant le concert (juillet 2017, images personnelles)

Un écran vidéo formidablement bien exploité pendant le concert (juillet 2017, images personnelles)

Le groupe est réputé pour livrer des concerts impeccables, on n'est pas déçu. Le son est incroyablement propre, puissant et inspiré. La guitare de The Edge était en grande forme, la basse d'Adam Clayton était puissante et précise, Le sens du rythme imparable de Larry Mullen et de sa batterie n'a rien perdu de sa précision. Bono a largement assuré le show notamment sur le titre  Exit, dans lequel il incarne un prédicateur qui laisse exploser son énergie sur scène. Même si sa voix est un peu en retrait, on a assisté à une magnifique performance !

Cette partie nostalgique, menée tambour battant s'achève sur le dernier titre de l'album Mothers of the Disappeared

Espoirs et désespoirs de l'Amérique profonde en toile de fond du concert ( juillet 2017, images personnelles)
Espoirs et désespoirs de l'Amérique profonde en toile de fond du concert ( juillet 2017, images personnelles)
Espoirs et désespoirs de l'Amérique profonde en toile de fond du concert ( juillet 2017, images personnelles)
Espoirs et désespoirs de l'Amérique profonde en toile de fond du concert ( juillet 2017, images personnelles)

Espoirs et désespoirs de l'Amérique profonde en toile de fond du concert ( juillet 2017, images personnelles)

Le concert s'interrompt quelques minutes pour des applaudissement largement mérités. Le groupe prend le temps de les savourer avant de remonter sur scène pour les rappels et une setlist engagée.

Si une première salve a été tirée contre la politique menée par Trump, Miss Sarajevo est l'occasion d'évoquer le cas des migrants qui fuient la Syrie. L'écran géant diffuse les images d'une jeune syrienne et un frisson envahit le stade lorsque son portrait imprimé sur un immense drapeau circule de mains en mains, faisant le tour des gradins du stade. 

Ultraviolet (Light my way) est aussi l'occasion pour le groupe de réaffirmer l'importance du féminisme. Une galerie de portraits façon pop art intitulée HER STORY présentant les femmes les plus influentes du monde défile sur l'écran géant. On y retrouve Anne Franck,  les suffragettes, Marie Curie, Pattie Smith entre autres grandes personnalités issues de la science, des arts et de la société civile. 

Beaucoup d'émotion lors du titre Miss Sarajevo et ambiance pop art en hommage aux femmes qui ont changé le monde ( juillet 2017, images personnelles)
Beaucoup d'émotion lors du titre Miss Sarajevo et ambiance pop art en hommage aux femmes qui ont changé le monde ( juillet 2017, images personnelles)
Beaucoup d'émotion lors du titre Miss Sarajevo et ambiance pop art en hommage aux femmes qui ont changé le monde ( juillet 2017, images personnelles)
Beaucoup d'émotion lors du titre Miss Sarajevo et ambiance pop art en hommage aux femmes qui ont changé le monde ( juillet 2017, images personnelles)
Beaucoup d'émotion lors du titre Miss Sarajevo et ambiance pop art en hommage aux femmes qui ont changé le monde ( juillet 2017, images personnelles)
Beaucoup d'émotion lors du titre Miss Sarajevo et ambiance pop art en hommage aux femmes qui ont changé le monde ( juillet 2017, images personnelles)
Beaucoup d'émotion lors du titre Miss Sarajevo et ambiance pop art en hommage aux femmes qui ont changé le monde ( juillet 2017, images personnelles)
Beaucoup d'émotion lors du titre Miss Sarajevo et ambiance pop art en hommage aux femmes qui ont changé le monde ( juillet 2017, images personnelles)

Beaucoup d'émotion lors du titre Miss Sarajevo et ambiance pop art en hommage aux femmes qui ont changé le monde ( juillet 2017, images personnelles)

Un trio imparable est joué pendant ces rappels chauffant le public du stade olympique à blanc. Beautiful Day, Elevation et enfin Vertigo dont le "un dos tres quatorce" fait trembler les murs du stade et rend hystérique la fosse. Les animations vidéos sont beaucoup plus modernes, colorées. 

Vidéos psychédéliques pour Vertigo et Elevation (juillet 2017, images personnelles)
Vidéos psychédéliques pour Vertigo et Elevation (juillet 2017, images personnelles)
Vidéos psychédéliques pour Vertigo et Elevation (juillet 2017, images personnelles)
Vidéos psychédéliques pour Vertigo et Elevation (juillet 2017, images personnelles)
Vidéos psychédéliques pour Vertigo et Elevation (juillet 2017, images personnelles)

Vidéos psychédéliques pour Vertigo et Elevation (juillet 2017, images personnelles)

Le concert s'achève sur une note un peu plus nostalgique avec One puis la grosse surprise du concert, un titre inédit qui devrait figurer sur le prochain album du groupe à paraître avant la fin de l'année. 

Il est 0:10 lorsque les dernières notes du groupe résonnent dans le stade. Le groupe est ovationné, mais cette fois ci, le groupe quitte la scène après une prestation incroyable, un concert mémorable et une soirée de rêve. Cette tournée anniversaire est une grande réussite et nous a fait voyager. Des soirées comme celle ci, on en redemande.

A l'issue du concert, une seule question nous trotte dans la tête... Alors U2 ? On se retrouve quand ??? 

Une nuit au Stade Olympique de Barcelone avec U2

Informations pratiques :

Situé sur la colline de Montjuic, le stade se trouve 52 avinguda del Estadi (avenue du stade). En plein coeur de l'Anneau Olympique, le stade est inmanquable mais placé sous haute surveillance les soirs de spectacle ! Toutefois, il est bien desservi par les transports en commun. 

Commençons par la voiture. Habituellement, la colline et les abords du stade sont accessibles en voiture. De nombreux parkings et espaces de stationnement se trouvent à proximité du stade. En dernier recours, grimpez davantage sur la colline de Montjuic en direction du château, vous y trouverez  de nombreuses aires de parking gratuites. 

En métro, vous pouvez  descendre à l'arrêt Pl Espanya desservi par les lignes  1,3 et 8 puis de prendre une connexion avec un bus qui vous amènera au stade. Si vous avez un peu plus de temps, vous pourrez poursuivre votre trajet à pied en contournant le Palau Nacional puis en traversant les jardins de Joan Maragall conduisant à l'avenue du stade. 

Vous pouvez également descendre à l'arrêt de métro Parra Lel desservi par les lignes 2 et 3. Votre billet vous donne accès en correspondance au Funiculaire. Les rotations sont assez rapides (un départ toutes les 10 minutes). Le stade se trouve à main gauche après uen petite marche d'une dizaine de minutes.  

En bus, les lignes 55, 13 et 150 relient la Place d'Espagne à Montjuic. Il vous faudra vous arrêter à l'arrêt Stade Olympique.  la ligne 150 est notre préférée car elle est rapide et car son terminus au Château de Montjuic offre un point de vue spectaculaire sur le port et sur la ville de Barcelone. 

Pour être complet sur le sujet, je n'oublie pas les bus touristiques qui normalement desservent le stade et bien évidemment le réseau de taxis qui est renforcé les soirs de manifestation au Palau Sant Jordi ou au Stade Olympique. 

Bonne visite et à bientôt pour de nouvelles découvertes !!